5 mars 2019

Ce que pense Simon Viviers des services d'orientation



L’accès à un conseiller en orientation est si difficile dans certaines écoles secondaires de la province que des élèves peuvent attendre deux ou même trois mois avant de réussir à en rencontrer un, a constaté Le Journal de Montréal dans son article intitulé Longue attente pour rencontrer un conseiller d'orientation scolaire au secondaire.

 

Simon Viviers, professeur au  Département des fondements et pratiques en éducation, s’est intéressé aux services d’orientation dans le réseau scolaire dans le cadre d’une étude sur le sujet publiée l’an dernier. Il a aussi constaté un «problème évident d’équité et de justice sociale», d’autant plus que la disponibilité des services ne tient pas compte des besoins des élèves.

 

Les ratios d’élèves par conseiller en orientation ne varient pas en fonction de la proportion d’élèves en difficulté ou issus de l’immigration dans les commissions scolaires, explique-t-il. 

 

Pour remédier à la situation, l’Ordre des conseillers d’orientation propose depuis quelques années une formation aux écoles et commissions scolaires, pour les aider à faire l’analyse de leurs besoins afin de mettre en place des services mieux adaptés pour leurs élèves. 

Depuis trois ans, moins d’une dizaine de commissions scolaires y ont participé. 

 

Pour en savoir plus, consultez l'article du 5 mars 2019 dans le Journal de Montréal.